samedi 17 mars 2012

Quand acheter Charlie redevient un acte politique

Je rajeunis à vue d'oeil, sauf sur mes vieilles photos.
La preuve, j'ai racheté Charlie Hebdo, et j'ai eu le plaisir d'y lire l'édito de Bernard Maris, ils ont bien fait de laisser Philippe Val partir à France Inter, le journal y gagne au change. 

Merci à Plouf pour avoir soulevé la question de l'hypocrisie égalitariste de gauche, ça a permis à Oncle Bernard de nous remettre à tous les pendules à l'heure, c'est moi qui stabilobosse en jaune, ne me remerciez pas.

Sinon, Charlie Hebdo reste Charlie Hebdo, quand même.
Mais ce n'est pas moi qui vais m'en plaindre.
A mon âge, et à celui des vétérans du journal, on ne se refait pas comme ça.






J'ai demandé à mon buraliste s'il était d'accord pour appliquer ces nouvelles mesures, 
mais sa femme a surgi du fond de la boutique pour faire remarquer 
que je faisais déjà suffisamment fuir la clientèle comme ça.

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