mardi 24 avril 2012

La solution finale IV

La semaine dernière, sur la plage de Trestrignel, j'ai croisé Marine Le Penis.
C'est une créature du Seigneur, c'est tout ce que je peux en dire de gentil.
Elle est le fruit d'une éducation réussie, d'une programmation culturelle sans failles et sans bavures.
Son succès et son franc-parler sont d'autant plus éclatants face aux balbutiements du camp d'en face.

Alors j'y ai lâché le chien dessus.
Il m'a ramené ses bollocks.

Gentil, le chien.
Va pas manger ça, tu vas nous choper une maladie.

Mais hier soir, au journal de ce triste Pujadas, elle les avait à nouveau.

Ca repousse, ou alors elle s'est fait greffer celles de son papounet.

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